Complémentaire santé






Les + Financial Conseil Patrimonial

  • Vérification des garanties existantes
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  • Contrats responsables
  • Assistance et conseil

 

A qui s’adresse la complémentaire santé ?
L’offre Financial Conseil Patrimonial
A quoi sert la complémentaire santé ?
Les différentes prestations d'une complémentaire santé?
La loi ANI

 

A qui s’adresse la complémentaire santé ?

 

La complémentaire santé s'adresse à tout individu. En effet, aujourd'hui la sécurité sociale, dans un soucis d'économie, rembourse de moins en moins bien les prestations de santé. En souscrivant une complémentaire santé, vous augmenterez ainsi votre couverture et bénéficierez d'une bien meilleure garantie. Il existe des contrats de tous types, ce qui vous permettra en fonction de vos besoins et de votre budget de trouver la meilleure protection. 

 

L’offre Financial Conseil Patrimonial

 

Financial Conseil Patrimonial vous offre une large gamme de contrats avec ses nombreux partenaires afin de répondre au mieux à vos  attentes. Tous les types de couvertures y sont disponibles afin de bénéficier de la meilleure prise en charge possible.

Nous vous proposons une véritable diversité d'options adaptables en fonction de vos besoins :

  • pack optique
  • pack dentaire
  • pack bien être
  • pack hospitalisation

C'est dans cette perspective, que nous vous conseillerons et mettrons en place des devis comparatifs afin de vous aiguiller au mieux dans le choix de votre contrat afin d'assurer un avenir serein à l'ensemble de votre famille. N'hésitez pas à nous contacter grâce la rubrique contact de notre site internet et bénéficiez d'un bilan gratuit sur votre couverture actuelle.

 

A quoi sert la complémentaire santé ?

 

Lorsque vous avez des dépenses de santé, l’assurance maladie obligatoire ne rembourse pas tout. Votre complémentaire santé intervient au-delà de ces remboursements pour vous permettre de faire face aux dépenses qui restent à votre charge, que celles-ci soient liées à une maladie, un accident ou une maternité.

 

En général, une complémentaire santé rembourse totalement ou partiellement les consultations, la pharmacie, l’hospitalisation, l’optique et le dentaire. Un grand nombre d’entre elles prend également en charge des prestations qui ne sont pas du tout remboursées par l’assurance maladie obligatoire, comme par exemple l’ostéopathie, les implants dentaires, certains vaccins et médicaments non remboursables, ou encore l’opération de la myopie.

 

Elles peuvent aussi proposer des services associés (assistance, prévention, suivi personnalisé…). Il existe une grande diversité de complémentaires santé. Vous pouvez donc choisir le niveau de couverture qui vous convient en fonction de vos besoins.

 

Le remboursement des frais de soins

 

Les frais de soins sont partiellement pris en charge par les régimes obligatoires d'assurance maladie. C'est dans la perspective de compléter ces remboursements qu'intervient l'assurance complémentaire, de manière plus ou moins importante, en fonction des garanties souscrites lors de la signature de votre contrat. Cela permet, ainsi, de diminuer voire de supprimer votre reste à charge. La complémentaire santé peut également intervenir dans le remboursement de certaines prestations non remboursées par l'assurance maladie obligatoire.

 

Contrats responsables

 

Tous les salariés devront bénéficier d’une couverture santé obligatoire d’entreprise dès janvier 2016. Cette mutuelle obligatoire devra répondre aux critères d’un contrat responsable et solidaire et proposer un panier de soin dont les minima sont définis par un décret du 18 novembre 2014. Aujourd’hui, la quasi-totalité des contrats sont responsables au sens qu’ils doivent respecter plusieurs obligations et interdictions de remboursement fixées par l’Etat.

 

En effet ce dernier prévoit :

 

  • Le remboursement de l'intégralité du ticket modérateur, c'est-à-dire de la différence entre la base de remboursement et le montant réellement remboursé par l'assurance maladie obligatoire, de toutes les prestations de santé remboursées par la sécurité sociale, sauf pour les frais de cures thermales, les médicaments dont la prise en charge par l'assurance maladie est fixée à 15% ou à 30% et les médicaments et préparations homéopathiques ; 
  • Le remboursement du forfait journalier facturé par les établissements hospitaliers de santé, sans limitation de durée ;
  • Un plafonnement du remboursement des dépassements d'honoraires pour les prestations médicales dispensées par un médecin n'ayant pas adhéré au contrat d'accès aux soins (CAS) ;
  • Que si un contrat d’assurance complémentaire propose la couverture des équipements d’optique au-delà du ticket modérateur, alors la prise en charge des verres et de la monture doit être comprise dans des fourchettes définies en fonction du niveau de correction :
      • Pour des lunettes à verres simples, le minimum de remboursement est fixé à 50 euros et le maximum à 470 euros
      • Pour des lunettes à verres très complexes, le minimum de remboursement est fixé à 200 euros et le maximum à 850 euros.
      • Les plafonds intègrent la prise en charge des montures qui est limitée à 150 euros.
      • Ces règles s’appliquent aux frais de lunettes (verres et montures) par période de deux ans. Pour les mineurs ou en cas de renouvellement justifié par une évolution de la vue, cette période est réduite à un an 
      • Pour les assurés présentant un déficit de vision de près et un déficit de vision de loin, et ne pouvant ou ne souhaitant pas porter des verres progressifs ou multifocaux, les garanties des contrats peuvent couvrir une prise en charge de deux équipements corrigeant chacun un de ces deux déficits sur une période de 2 ans.

 

Les contrats responsables ne prennent pas en charge :

 

  • La participation forfaitaire (1€ par consultation) et les franchises médicales laissées à la charge de l’assuré ;
  • La majoration de la participation de l’assuré pour non désignation d’un médecin traitant ou consultation d’un autre médecin sans prescription du médecin traitant (assuré dit « hors parcours de soins ») ;
  • Les dépassements d’honoraires lorsque l’assuré consulte un spécialiste auquel la loi ne permet pas d’accéder directement sans passer par son médecin traitant (c’est-à-dire un spécialiste autre qu’un gynécologue, ophtalmologue, psychiatre ou neuropsychiatre−patient entre 16 et 25 ans−, stomatologue).

 

Enfin, au titre de ces contrats responsables, les organismes complémentaires doivent communiquer chaque année aux assurés le montant et la composition des frais de gestion et d’acquisition des contrats.

 

 

Autres types de remboursements

 

Les contrats d’assurance complémentaire peuvent aller au-delà des garanties minimales définies par le contrat responsable, en prévoyant par exemple la prise en charge :

  • Du forfait journalier hospitalier facturé par les établissements médico-sociaux ;
  • Du supplément en chambre particulière ;
  • Des lentilles, de la chirurgie réfractive ;
  • Des frais de prothèses dentaires et d’orthopédie dentofaciale (ODF) au-delà du ticket modérateur, et des implants ;
  • Certains assureurs proposent d’autres prestations telles que :
  • Des frais d'orthopédie et de prothèses, au-delà du ticket modérateur ;
  • Des actes de prévention (comme par exemple les vaccins), de médecine douce, non pris en charge par le régime obligatoire ;
  • D’un forfait pour les cures thermales…
  • D'une prime de maternité ou un forfait naissance ;
  • D'un forfait obsèques.

 

La loi ANI 

 

L’accord national interprofessionnel (ANI) a été conclu le vendredi 11 janvier 2013  et prévoit entre autres, la généralisation de la couverture santé pour 3,5 millions de salariés français. En effet, l'un des points les plus importants de cet accord concerne la complémentaire santé. Dès le 1er janvier 2016, toutes les entreprises du secteur privé, quel que soit leur statut, leur taille ou leur secteur d’activité, devront avoir mis en place une mutuelle collective pour leurs salariés. Cette mutuelle obligatoire devra répondre aux critères d’un contrat responsable et solidaire et proposer un panier de soin dont les minima sont définis par décret. Les entreprises devront financer au minimum 50 % du coût de cette mutuelle santé, le reste étant à la charge du salarié bénéficiaire.